A l’occasion de sa mission de terrain, la Fondation Héloïse Charruau sous égide de la Fondation Caritas France a rencontré les jeunes bénévoles volontaires MEP engagés dans le diocèse de Port Bergé et impliqués dans les actions menées par la Père Bertrand de Bourran.

De gauche à droite, nous avons le Frère malgache Lionel de la paroisse de Tsarahasina, Philippine engagée Professeur de français en école primaire et en 3ème du collège de ce village et Clémence sage-femme et infirmière du dispensaire Héloïse à Tsarahasina.

Photo prise dans le réfectoire de l’évêché de Port Bergé. De droite à gauche successivement : Marie spécialiste « économie sociale et solidaire » mise à disposition de l’évêché de Port-Bergé, Chloé professeur de français à Port Bergé, Aude professeur école primaire à Port Bergé, Foucauld en « visite d’étude » à Port Bergé, le Frère Vis attaché à l’évêque, le Père Bertrand de Bourran, Paul conducteur de travaux pour la réfection d’un établissement scolaire sous égide du Père Bertrand et Sophie professeur en collège à Port Bergé.

Selon Wikipédia, le Volontariat MEP, ou Service de Volontariat des Missions Étrangères de Paris, est un service de volontariat proposé aux jeunes étudiants ou professionnels de l’Eglise catholique en France pour les Églises d’Asie et de l’Océan Indien. Ce service répond à l’appel de Jésus-Christ : « Allez, de toutes les nations faites des disciples ! »  (Mt 28, 19)

Honneur à tous les volontaires MEP engagés auprès des plus démunis dans le Monde !

Le Pape Benoît XVI s’exprima ainsi en 2005 :

« Un phénomène important de notre temps est l’apparition et l’expansion de diverses formes de bénévolat, qui prennent en charge une multiplicité de services. Je voudrais ici adresser une parole de reconnaissance et de remerciement à tous ceux qui participent, d’une manière ou d’une autre, à de telles activités. Le développement d’un pareil engagement représente pour les jeunes une école de vie qui éduque à la solidarité, à la disponibilité, en vue de donner non pas simplement quelque chose, mais de se donner soi-même. À l’anti-culture de la mort, qui s’exprime par exemple dans la drogue, s’oppose ainsi l’amour qui ne se recherche pas lui-même, mais qui, précisément en étant disponible à «se perdre» pour l’autre (cf. Lc 17, 33 et par.), se révèle comme culture de la vie. »

(Benoît XVI, Deus Caritas Est )